Contient notamment:
30.06.1838, Autorisation du Grand Conseil de l'échange du bâtiment dit de l'Académie contre celui de la Douane (lettre du Préfet transmettant la décision; lettre du Conseil des Finances).

Contient notamment:
19.07.1838, Précisions du Conseil des Finances relatives à l'échange de la douane contre le bâtiment dit de l'Académie, notamment la question des assistants à la rédaction de la convention d'échange.
23.07.1838, Plainte et observations du douanier M. Zurkinden à propos de l'échange de la douane, des possibles conséquences dues notamment à la concession du 1er étage à M. Lacaze.

Contient notamment:
22.08.1838, Soumission au Conseil communal par M. François Weck et M. Louis Esseiva d'une pétition des pères de famille relative à l'autorisation d'établir une deuxième école primaire, dirigée par la Société de Marie (Marianistes).
29.08.1838, Rapport de la commission des Ecoles à propos de la proposition précédente.

Contient notamment:
05.09.1838, Démission de l'horloger Delosea de la direction de l'horloge de la maison de Ville (horloge de la Grande Tour)
25.09.1838, Pétition sous forme de recommandation et de soutien des pères de familles à propos d'un des instituteurs actuels, M.Egger, et des nominations d'instituteurs aux écoles primaires à venir.

Correspondance reçue par le Conseil communal émanant des autorités du District et du Canton, des diverses commissions de l'administration communale, de la paroisse St-Nicolas et de sa fabrique, ainsi que des requêtes et de doléances de particuliers, à propos d'autorisation variées (tolérance et droit de résidence, mariages, demandes d'enseignes et de patentes) et de reconnaissance de bourgeoisie. Sujet: école et instruction (bâtiment, école des filles, académie, nomination), fabrique Saint-Nicolas et paroisse (enfants de chœur, travaux de rénovation et d'entretien, blanchisserie du linge), mouvement et le contrôle des personnes, charité et secours, ordre public (mœurs, enfants illégitimes), édilité (réparation) et travaux publics (entretien des routes, éclairage public).

Correspondance reçue par le Conseil communal émanant des autorités du District et du Canton, des diverses commissions de l'administration communale, de la paroisse St-Nicolas et de sa fabrique, ainsi que des requêtes et de doléances de particuliers, à propos d'autorisation variées (tolérance et droit de résidence, mariages, demandes d'enseignes et de patentes) et de reconnaissance de bourgeoisie. Sujet: école et instruction, charité et secours, vêtements et linges liturgiques, logements militaires (inspection fédérale à Berne et autres mouvements de troupes), édilité (réparation de bâtiments) et travaux publics (route, pavés, pont).

Contient notamment:
04.01.1840, Pétition des charcutiers établis à Fribourg, relative à la vente des porcs en détail et aux condition de leur abattage en référence au Règlement du 27.09.1839.

Contient notamment:
10.10.1840, Avis du Conseil de Police au Conseil communal à propos des détails d'une opération à venir et du dispositif de sécurité : le pont suspendu du Gottéron doit être soumis à l'épreuve de la résistance dans la matinée du 13 octobre.
12.10.1840, 22.10.1840, Plainte de Sr Xavière Moret, Sr Sup des Ursulines, à propos du projet du Conseil communal de vendre la maison contiguë à l'Eglise des Ursuline où se tenait l'école publique et la salle construite sur la sacristie.

Contient notamment:
15.11.1840, Demande de subside de la part de la Société économique pour l'alimentation et l'augmentation de la Bibliothèque.
20.11.1840, Pétition des marchands en foire à propos d'autorisation supplémentaire de jours de vente et de conditions d'exposition de leur marchandise.
27.11.1840, Projet de règlement concernant la place de maître de calligraphie et de dessin, rédigé par le chanoine Gottrau, sous-inspecteur des écoles primaires.

Contient notamment:
10.12.1840, Doléances du custode de St-Nicolas, le chanoine Gottrau, à propos de l'état des vêtements, du mobilier et de la vaisselle liturgiques nécessitant de l'entretien et des réparations ainsi que de la nécessité de disposer d'une chambre des ornements distincte de la sacristie.