Documents relatifs à la République Helvétique (1798-1803) et au régime mis en place par l'Acte de Médiation. Elles contiennent des documents (copie ou original) officiel émanant des autorités suprême (Directoire exécutif), cantonal ou municipal tel que des arrêtés de décision ou des propositions/projets de règlement, des listes de registres et documents transmis aux nouvelles instances (régie, chambre ou commission); de la correspondance avec la République française à propos de ses ressortissants; des certificats et des attestation de travail ou de bonne conduite; des rapports de police et documents de justice; quelques pétitions de citoyens; des documents relatifs aux secours des incendiés/inondations; des documents plus anciens (copie ou extraits d'actes).

Contient plus particulièrement: 19.08.1847, 25.08.1847, 26.08.1847 et 10.09.1847, Plainte du Prévôt de Saint-Nicolas, Tobie Nicolas de Fivaz, contre le sous-chantre Georges Mugglin, tendant notamment à le discipliner et à lui faire renoncer à la fréquentation des auberges.

Contient notamment, en février-mars, des rapports du chirurgien de l'hôpital relatif à des soupçons de cas de syphilis et de vérole.

Contient plus particulièrement: s.d., demande de Castella adressée au Préfet pour "prendre des mesures pour savoir si le personnel du fameux Comité révolutionnaire est présent à Fribourg (...) Comme il paraît que ses doléances ont lieu à l'Hôtel de Zaehringen ou chez Vondereid".

Contient plus particulièrement: 03.08.1848, Etat nominatif des recrues militaires (Fribourg)

Contient plus particulièrement: 18.04.1851, circulaire du Préfet relative aux individus ayant pris part à l'insurrection du 22 mars 1851 (insurrection Carrard). Ne contient qu'une lettre de 1852 (22.06)

Correspondance reçue par/transmise à la Direction de la police (directeur, secrétaire, commissaire). Correspondance, circulaire et extrait de protocole (décision d'arrestation) du Préfet du District de la Sarine adressés à la Direction de la police locale de Fribourg ou au syndic de la Ville, ainsi que des courriers de la Direction de la Police centrale (Canton de Fribourg) et d'autres municipalités suisses/étrangères ou de directions de police cantonale à la police locale de Fribourg ou encore de délégations étrangères et d'organes de l'administration communale, cantonale et fédérale (Conseil communal, administration des pauvres, orphelinat, direction de l'édilité, hospice cantonal, commissariat des guerre, chancellerie, département de Justice et Police,...) relatifs à des attestations (certificat d'origine, emplacement, foire, manifestation et représentation théâtrale...), des signalements, des avis de recherche et signalisation d'infraction, à l'hygiène et à la santé publique (syphilis, vérole, ...). Contient également quelques rapports (rapport de la porte de Berne, bois, rapport de visite) et des requêtes particulières adressées à la police locale (réponse à des demandes de renseignement, informations, réclamation et plainte transmises à l'autorité compétente).

Sujet et contexte : recrutement et contingent militaire, Landwehr, Landsturm; maintien de l'ordre; mouvement, contrôle et surveillance des personnes; demande et transmission de certificat (bonne conduite, acte d'origine, acte de naissance, passeport,..), avis de vol et d'infraction, renvoi du Canton, avis de décès et recherche de parents après décès; ordre public (boucherie, abattoir, balayage, dégradation, réparation, ...); Sonderbund et expulsion des jésuites; insurrection Carrard (22.03.1851)

Correspondance reçue par/adressée à la Direction de l'Edilité, à la Commission de l'Edilité (Conseil communal) ou à l'architecte de ville, 04.01.1873-04.12.1879.

Correspondance reçue par/adressée à la Direction de l'Edilité, à la Commission de l'Edilité (Conseil communal) ou à l'architecte de ville, 10.02.1880-21.12.1883. Contient notamment: 14.04.1880, Préavis d'Auguste Majeux, directeur de l'école secondaire des filles, sur 2 nouveaux systèmes de bancs d'école.-17.04.1882, Requête du Président du Tribunal de la Sarine demandant l'établissement de latrines à la maison judiciaire.