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Vente à Claude Seydoux d'une chambre avec cuisine et cave à la maison 45 rue des Oges ou de Saint-Pierre à Fribourg

François feu Jean-Joseph Seydoux, de Sales près de Vaulruz, de la Garde du Gouvernement à Fribourg, pour une moitié, et Daniel fils de feu Zhisler, bourgeois de Fribourg, pour l'autre, vendent à Claude feu Claude Seydoux, de Grattavache, une chambre, une cuisine et une cave ou dispense situés au rez-de-chaussée de la maison 45 de la rue des Oges ou de Saint-Pierre, en ville pour le prix de 240 écus bons.
Témoins : François-Denis Vionnet, de Progin, Hans Gasser, de Planfayon.
Notaire : Philippe Roth, au nom du notaire Comba, actuellement malade.

Acte de réversibilité de la bibliothèque de la Société économique en faveur de la Ville de Fribourg

Acte de réversibilité de la bibliothèque économique passé par les délégués de la Société économique établie en 1813 à Fribourg, Rodolphe de Weck, membre du grand Conseil et intendant des sels de la Ville, et Pierre d'Appenthel, conseiller d'appel.
Témoins: Antoine Stern, adjoint de la Police locale, et Claude Michon.
Notaire: J.N. Raedlé

Le Jacquemard ou la Tour des prisons, à Fribourg en Suisse

Fait partie de l'album: Promenades pittoresques dans la ville de Fribourg et ses environs.
10 heures 20 passées à l’horloge de la tour. Par une belle matinée, le haut de la rue de Lausanne est en effervescence. Une femme du peuple propose un mets fumant. Les maréchaux-ferrants sont occupés à ferrer. Quelques promeneuses échangent des salutations galantes. Aux occupations humaines font écho celles d’un monde animalier drolatique et typé. Cette balade urbaine nous conduit vers 1830 à la porte de Jaquemart : réputée pour son cadran animé, elle abritait aussi les prisons.

De Fégely, Philippe

Abandon, convention et transaction entre le Conseil communal de la Ville de Fribourg et les Révérends Pères Cordeliers concernant l'emplacement de deux cimetières jouxtant l'Eglise Notre Dame

Abandon, convention et transaction entre Bruno Zurkinden, Louis Chollet, François Antoine Vicarino, au nom du Conseil communal, et les Pères Tobie Barras, gardien, et Charles Raedlé, receveur, au nom des Pères Cordeliers en Ville de Fribourg. Concerne l'utilisation et l'entretien du terrain autour de l'Eglise de Notre Dame, notamment l'emplacement des deux cimetières compris avant l'année 1765 (devant l'Eglise et le Couvent du côté ouest; l'autre côté ouest de l'Eglise).
Témoins : Claude Michon, bourgeois de Fribourg, Alexandre Pugin, de Riaz.
Notaire : Jean Théobald Hartmann

Fribourg. Quartier de la Neuve-Ville.

C’est en 1838 que F.-F. d’Andiran, artiste multi-talentueux établi à Lausanne, publie "Suisse et Savoie. Vues Pittoresques". Sur les 25 illustrations de cet album de haut vol, pas moins de 8 dépeignent Fribourg et son paysage urbain si varié. Très impressionné par la Neuveville, d’Andiran en tire un saisissant ‘portrait de quartier’, entre romantisme et critique sociale.

Transcendant la joliesse de son style, d’Andiran porte un regard empathique envers ce quartier populaire. Il exacerbe le contraste entre la ville haute, dominante, élégante mais distante, et la ville basse, pauvre, pittoresque et si romanesque malgré son délabrement. L’enchevêtrement des architectures chaotiques est restitué avec brio. Les façades des arrière-cours misérables prennent ainsi le pas sur l’éminent Hôtel cantonal et la tour de Saint-Nicolas, diluée dans les nuages. Pour gagner cette perspective, l’artiste s’était rendu sur les fortifications médiévales qui longeaient la Sarine.

D' Andiran, Frédéric-François

Vente en faveur de la Bourgeoisie de Fribourg d'un pré-marais situé près de la tuilerie du Mouret.

M. Jean-Baptiste Kolly (connu sous le prénom Jean), président de la Direction des orphelins du Mouret, juge de district, député au Grand Conseil et ancien syndic de Treyvaux, y demeurant, au nom de ses filles Marie et Anne, pour 1/4 ; le Sieur Udalric Dousse, connu sous le nom de Vuellon, de Treyvaux, pour 1/4 ; le Sieur Pierre-Joseph Paradis, connu sous le prénom Joseph, de La Roche, pour 1/4 ; le Sieur François Dousse, de Treyvaux, pour 1/4, vendent à M. Pierre Froelicher, avocat et procureur général ainsi que M. Nicolas Dupond, bourgeois de Fribourg, tous deux membres de la Commission de l'Edilité et du Conseil communal, agissant au nom de la Bourgeoisie de Fribourg, une pièce de terre en nature de pré-marais de la contenance de deux poses près de la tuilerie du Mouret, territoire de Essert, pour le prix de 1100 francs suisses.
Témoins : M. François Meyer, de Cerniat, régent d'école à Praroman; Sieur Joseph Risse, de La Roche, boulanger au Mouret.
Notaire : Jean-Jacques Schorderet, notaire et secrétaire de la Direction des orphelins du Mouret.

Pompe d'incendie à bras, refoulante

Cette pompe fait partie des trois petites pompes refoulantes construites en 1839-40 par Christian Schenk pour la Ville de Fribourg. Son prix d'achat était de 540 frs. Nous ignorons actuellement dans quel dépôt/secteur elle était entreposée, ainsi qu'à quelle période elle a été éventuellement revendue, puis mise hors service. Les Pompiers de la Ville de Fribourg l'ont rachetée en 2013 à feu Jean-Marie Berset. Depuis, elle est exposée au Galetas à Fribourg.

En parallèle à la construction des pompes, Christian Schenk publie en 1841 (l'Imprimerie Schmid, Fribourg) un fascicule dans lequel il décrit d'une part l'entretien des pompes à incendies, d'autre part leur manipulation durant l'intervention. Ce mode d'emploi lui donne également l'occasion de recommander les pompes issues de son ateliers alors installé "au Gottéron, N° 229, à Fribourg en Suisse". Argumentant en faveur des "pompes foulantes ordinaires", il met en exergue la simplicité d'utilisation de ces dernières, leur robustesse et leur prix avantageux par rapport aux pompes aspirantes dont le mécanisme et l'entretien sont "compliqués".

Schenk, Christian

Grégoire Girard

Adoptant la formule classique du mi-corps, Jean-Baptiste Bonjour nous livre un portrait où l'expressivité physionomique s'allie à l'aura du penseur et du pédagogue éminent qu'était le Père Grégoire Girard, alors âgé de 78 ans. Vêtu de la bure noire des frères conventuels, arborant la calotte, Grégoire Girard émerge d'un fond sombre. Par contraste, son visage auréolé de cheveux blancs et ses mains encadrant le cordon [cingulum] sont mis en lumière, restituant le caractère vif mais retenu du personnage. Le statut d'érudit de Grégoire Girard et ses accomplissements en matière de pédagogie sont signifiés par les attributs habilement mis en scène en marge de la composition. En effet, le bras droit repose sur le livre emblématique intitulé "Sur l'enseignement de la langue maternelle, 1843, Paris". Sous la publication, disposés dans un désordre étudié, sont lisibles quelques passages symboliques. Cette nature morte d'érudition s'accompagne de la lettre de nomination de l'ordre royal de la Légion d'honneur ainsi que de la croix, presque cachée, surtout visible par son ruban rouge. La main gauche tient un objet en cuir, peut-être une tabatière. Ce portrait, à la fois représentatif et intimiste, correspond bien à la personnalité modeste et réflexive du Père Grégoire Girard, tandis que le portrait réalisé par Bonjour en 1850, l'année du décès, met l'accent sur le prestige avec l'évocation de sa bibliothèque riche de nombreux et rares volumes.

Bonjour, Jean-Baptiste

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