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Vente en faveur des frères Gasser, fils de Peter Gasser

Joseph Jungo, lieutenant et aubergiste à l'abbaye des Maçons de Fribourg, en son nom ainsi que de son cousin Christoph Jungo, maître-tailleur de pierre du gouvernement, représenté par Johann Jungo, sergent de la garde de la Ville, vendent à Christi, Peter et Hans, fils de feu Peter Gasser, un bien situé à Hapfere (Planfayon), pour le prix de 1100 écus bons.
Témoins: Nicolas Gumy, Victor Christen et Johann Joseph Thalmann (vice-Amman de Planfayon)
Notaire: Johann Joseph Thalmann, curial de Planfayon.

Vente en faveur du Conseil communal de Fribourg d'une pièce de terre au Stadtberg

Le Sieur Christophe feu Jean Joseph Pürro, maître charpentier et bourgeois de Fribourg, vend à M. Jean-Baptiste Thürlerr, caissier et président du Comité de l'Edilité, agissant au nom du Conseil communal, environ deux poses et un tiers de pré situé au Stadtberg pour le prix de 100 louis d'or ou 1600 livres suisses.
Témoins : Pierre Farvagny, bourgeois de Fribourg et François Jenny, de Dirlaret, demeurant à Fribourg.
Notaire : Georges Buchs

Vente en faveur du Conseil communal de Fribourg d'une pose de terre dite Streinmatt derrière les Neigles

Monsieur Joseph Loffing, médecin et chirurgien du charitable Grand Hôpital et bourgeois de Fribourg, à son nom et en celui de son épouse Christine née Wolhauser, vend à M. Jean-Baptiste Thürler, membre du Conseil communal et président du Comité de l'Edilité, agissant au nom du Conseil communal de Fribourg, une pose de terre avec une grangette, au lieu dit Steinmatt, rière les Neigles au prix de 300 livres suisses.
Témoins : Pierre Grauser, bourgeois de Fribourg et François Jenny, de Dirlaret, demeurant à Fribourg.
Notaire : Georges Buchs

Vue de Fribourg depuis la maison Vicarino

C’est depuis une des terrasses de la maison Vicarino à la rue des Alpes, où il réside dès 1884, que Reichlen peint cette vue de Fribourg. Dans la sensibilité du pleinairisme, il choisit l’instant évanescent d’un soir d’été à l’approche de l’orage – l’horloge de l’Hôtel de Ville nous indique qu’il est 18h25 (19h25 heure d’été !). Le traitement harmonise la précision du dessin et la quête lumineuse afin d’exalter la beauté de Fribourg. Tandis que les esplanades du premier plan et le quartier de la Neuveville s’estompent déjà dans la pénombre vaporeuse, le Bourg et l’Auge sont encore baignés d’une fine lumière dorée. L’implantation de la cité dans son écrin naturel et la poétique du ciel témoignent du talent de paysagiste de Reichlen. Dans cette composition, il assimile la modernité impressionniste à une narration romantique grâce à l’insertion de détails intimistes, tels les pots de fleurs et le chat curieux. Il met aussi en exergue une perspective emblématique puisque les représentations de Fribourg depuis la terrasse de la maison Vicarino deviendront un classique chez Reichlen. A relever que plusieurs de ces vues sont présentes dans les collections publiques : Musée d’art et d’histoire Fribourg (vers 1903-1904), Banque cantonale de Fribourg (1905) Bourgeoisie de Fribourg (version avec le chantier de la route des Alpes, vers 1906-1907).

Comme en témoignent l’abouti de la composition, les dimensions importantes ainsi que le contexte de réalisation, ce tableau constitue une ‘création de prestige’ dans l’œuvre de Joseph Reichlen (1846-1913). Peint en 1889 au cours de l’été, il est présenté en automne à Bâle à l’exposition Turnus (6 octobre – 3 novembre 1889) organisée par la Société suisse des beaux-arts. Dans le catalogue, l’œuvre est mentionnée sous le numéro 114 avec le titre Ansicht von Freiburg, et elle est proposée à la vente au prix de 750.- francs – somme assez conséquente pour l’époque.

Reichlen, Joseph

Vue du bas du Stalden à Fribourg, montrant la terrasse du Plätzli

Œuvre particulièrement séduisante, isolant le bas du Stalden, où Curty habitait. Comme l’écrivit Michel Terrapon, ces maisons agglutinées ont vraiment « l’allure de nids d’aigle agrippés à plus de trente mètres au-dessus de la rivière ». C’est dans ces demeures vertigineuses qu’ont vécu – si l’on ose cet anachronisme – l’actrice Magali Noël et Gérard Bourgarel, fondateur de Pro Fribourg.

Curty, Joseph-Emanuel

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